Les réseaux sociaux, un site incompatible avec la liberté d’expression en Espagne.

Une année est le temps que Cassandra Vera devrait être à la prison à cause de la publication des “certains” tweets (concrètement 13) que “critiquent” à Luis Carrero Blanco entre 2013 et 2016.




credits: laurymat.files.wordpress.com
Cassandra Vera, une jeune fille de 21 ans qui étudiait Histoire a été condamnée par l’Audience Nationale à deux années de prison initialement pour publier 13 “tweets” avec un contenu odieux au président du gouvern, Luis Carrero Blanco tué dans un attentat d’ETA., aux temps de Francisco Franco, le dictateur espagnol depuis 1939 jusqu’a 1974.
Le procureur de l’Audiencia Nacional a accusé Vera “d’exalter” la haine et de se moquer des victimes du terrorisme, une jugement perçu par Cassandra  comme “excessif” car elle défendait qu’elle n’avait pas l'intention d’humilier à personne.
Les 13 tweets, qui ont été écrits entre le 29 novembre  2013 et le 16 janvier  2016 par @Kira_95, son nom d’utilisateur sur Twitter, ont été perçu comme “humour noir” et comme des expressions utilisées pendant des années en Espagne. Mais le , Pedro Martinez Torrijos a Réduit le jugement d’une année de prison
Le cas ne termine pas ici, elle aussi a souhaité la mort à Cristina Cifuentes, présidente de la Communauté de Madrid.
Le plus curieux de tout le cas, c’est que la petite-fille de Luis Carrero Blanco n’a pas été offensée pour rien et qu’elle quelifie d’absurdité ce jugement.

Cassandra  n’est pas la première à faire quelque chose comme ça, Beñat Lasa Fernadez a été aussi condamné à 18 mois de prison  comme conséquence de partager une photo d’un attentat d’ETA où aussi Luis Carrero Blanco est la critique principale, comme Vera. Comme commentaire sous la photo, il avait écrit : “Hasta el infinito y más allá” (Jusqu’au l’infini et plus loin) en faisant une référence à Toy Story.
Son jugement : exaltation du terrorisme et ETA. 
La liberté d’expression n’est pas une “opportunité” de souhaiter la mort à quelqu’un même s’est notre ennemi numéro 1, s’exprimer est un droit que tout le monde à mais il ne faut pas le perdre même aussi notre temps, un droit très précieux que beaucoup des gens n’ont pas en plein 21ème siècle.
Avec ces deux cas et autres, est clairement visible que la liberté d’expression et les réseaux sociaux ont une “relation” pas assez bonne, ou est-ce que réellement le coupable de cette relation est la “justice” ? on peut dire toute sans attendre les conséquences ?
Je profite pour vous gérer vers des billets où j’ai réfléchi sur l’utopie de la liberté d’expression.
je vous mets le liens pour plus d'infomations:

Comentarios

  1. La liberté d'expression ne doit certes pas être un prétexte pour tout se permettre... Mais il est extrêmement difficile de définir les limites de ce qui peut ou non être dit, surtout sur les réseaux sociaux où chacun a l'occasion de s'exprimer très facilement !
    En effet, il n'est pas correct de souhaiter la mort des gens, mais la critique d'un homme politique ou d'un gouvernement ne devrait pas poser problème. Il y a des choses qui me choquent plus que ça et qui pourtant, ne sont pas dénoncées, comme par exemple un compte Twitter @LeMxsculiste qui ne cesse de diffuser des messages extrêmement dégradants et offensants à l'égard des femmes.
    La liberté d'expression est un droit fondamental, mais très compliqué à gérer !

    ResponderEliminar
  2. Je pense que nous devrions faire la différence entre ce qui peut être dit et comment le dire. Nous devons être autorisés à critiquer la politique du pays dans lequel nous vivons, car elle nous affecte directement. Cependant, cette critique doit être réalisée de manière respectueuse.
    Je pense que les mots ont plus d'impact et de portée s'ils n'offensent pas directement parce qu'ils sont violents ou insultants.

    ResponderEliminar

Publicar un comentario

Entradas populares de este blog

LA CENSURE "ONLINE"